Ça pince, les bougies lâchent la cire sur les corps et le maître se permet d’en déversé dans la chatte d’une de ses esclaves. Ces deux salopes se tortillent comme des damnés et gémissent de souffrance douce et de plaisir extrême. Le foutre coule et elles lèchent.

Pas humaines, des chiennes.